Source : PositivR
La série « Putain de nanas » nous propose
une plongée dans les vestiaires de l'équipe féminine de rugby de
Villeneuve d'Ascq. Neuf épisodes, neuf tableaux gracieux et puissants.
Qui aurait cru qu’une série documentaire sur le rugby puisse
autant émouvoir ? Fraîchement primée au Festival de Luchon, la web-série
documentaire « Putain de nanas »
retrace le quotidien d’une équipe féminine de la région lilloise. Une
plongée sensible dans un univers pourtant si brutal. A retrouver
gratuitement sur Slash, un portail de France Télévision.
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Elles s’appellent Laura, Alexandra, Michelle ou encore Yanna, ont entre 19 et 25 ans et jouent au rugby au plus haut niveau, sans être pour autant professionnelles. Dans leur club de Villeneuve d’Ascq, le LMRCV, on les connaît mieux sous le nom de « putain de nanas ». La série documentaire du même nom retrace leurs combats si divers. Sur le site de France Télévision, on peut lire :
Souvent stigmatisées, les
sportives féminines doivent, plus encore que leurs collègues masculins,
prouver leur valeur. Dans la bande annonce, on entend une des joueuses
scander :
Que l’on soit sportif ou non, la série captive. Intenses et esthétiques, les épisodes d’une dizaine de minutes font entrer le téléspectateur dans l’intimité des joueuses, entre précision technique, dépassement de soi et esprit d’équipe. Un cocktail qui n’a pas laissé indifférent le jury et le public du Festival des créations télévisuelles de Luchon, puisque « Putain de nanas » vient de recevoir le Prix du public de la série digitale documentaire. Bravo !
Ça donne envie de tout plaquer pour regarder, non ?
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Elles s’appellent Laura, Alexandra, Michelle ou encore Yanna, ont entre 19 et 25 ans et jouent au rugby au plus haut niveau, sans être pour autant professionnelles. Dans leur club de Villeneuve d’Ascq, le LMRCV, on les connaît mieux sous le nom de « putain de nanas ». La série documentaire du même nom retrace leurs combats si divers. Sur le site de France Télévision, on peut lire :
« Elles partagent tout de leurs vies ou presque : leurs doutes, leurs expériences, leurs espoirs, leurs appartements, leurs fêtes… Et tout le reste. Le reste c’est notamment ce sujet qui revient souvent la « féminité » des rugbywomen. En pratiquant un sport comme le rugby, ces femmes questionnent les stéréotypes de genre sur les corps féminins. »En neuf épisodes, la série nous emporte dans un univers atypique, cru et brutal. Les corps y sont surentraînés, souvent abîmés. Dans l’épisode 6, on rencontre notamment Alice. En 2015, la jeune femme joue le match de trop. Après trois jours de coma elle se réveille tétraplégique. On découvre sa force et le soutien indéfectible de ses coéquipières qui vont la ramener sur ses deux pieds.
« Une femme a le droit d’être forte.Ces « putain de nanas », sont, semble-t-il, les trois à la fois.
Une femme a le droit d’être courageuse.
Une femme a le droit d’être combative. »
Que l’on soit sportif ou non, la série captive. Intenses et esthétiques, les épisodes d’une dizaine de minutes font entrer le téléspectateur dans l’intimité des joueuses, entre précision technique, dépassement de soi et esprit d’équipe. Un cocktail qui n’a pas laissé indifférent le jury et le public du Festival des créations télévisuelles de Luchon, puisque « Putain de nanas » vient de recevoir le Prix du public de la série digitale documentaire. Bravo !
Ça donne envie de tout plaquer pour regarder, non ?
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