Source : Euronews
04/11 13:08 CET
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Les Espagnols, exaspérés par
la situation dans le pays, ont trouvé un nouveau moyen très original
d’exprimer leur colère contre les banques et les politiques qu’ils
tiennent pour responsables de la crise économique : ils raturent les billets de banque en les couvrant de messages.
Ces petits graffitis, qui n’enlèvent rien de leur valeur légale aux billets, font leur bonhomme de chemin de poche en poche, de caisses enregistreuses en distributeurs de billets, ainsi que sur les réseaux sociaux.
L’un de ces graffeurs se demande si son message, écrit sur un billet de cinq euros, arrivera jusqu‘à Emilio Botin, le président de la Banque Santander.
“Les politiciens et les banquiers sont une honte pour la Nation” est-il écrit sur un autre billet de cinq euros.
Un autre message demande à ce que quelqu’un “retourne dans le passé et fasse en sorte que les parents de Rajoy [le Premier ministre Mariano Rajoy] ne se rencontrent jamais”.
Cet utilisateur de Twitter promet qu’il ne laissera aucun billet sans message.
Il a écrit sur ce billet de cinquante euros : “Ah, chers politiciens et banquiers, comme je suis sûr que ce billet finira entre vos mains, j’en profite pour vous laisser un message privé…” s’en suit une belle insulte.
Cet autre utilisateur de Twitter a trouvé ce message écrit sur un billet de dix euros qu’il a reçu avec sa monnaie dans un supermarché :
“Ce billet est de l’argent sale, s’il vous plaît, ne le laissez pas en circulation”.
Ces petits graffitis, qui n’enlèvent rien de leur valeur légale aux billets, font leur bonhomme de chemin de poche en poche, de caisses enregistreuses en distributeurs de billets, ainsi que sur les réseaux sociaux.
L’un de ces graffeurs se demande si son message, écrit sur un billet de cinq euros, arrivera jusqu‘à Emilio Botin, le président de la Banque Santander.
“Les politiciens et les banquiers sont une honte pour la Nation” est-il écrit sur un autre billet de cinq euros.
Un autre message demande à ce que quelqu’un “retourne dans le passé et fasse en sorte que les parents de Rajoy [le Premier ministre Mariano Rajoy] ne se rencontrent jamais”.
Cet utilisateur de Twitter promet qu’il ne laissera aucun billet sans message.
Il a écrit sur ce billet de cinquante euros : “Ah, chers politiciens et banquiers, comme je suis sûr que ce billet finira entre vos mains, j’en profite pour vous laisser un message privé…” s’en suit une belle insulte.
Cet autre utilisateur de Twitter a trouvé ce message écrit sur un billet de dix euros qu’il a reçu avec sa monnaie dans un supermarché :
“Ce billet est de l’argent sale, s’il vous plaît, ne le laissez pas en circulation”.
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