Source : Euronews
A moins d’une semaine de ce scrutin anticipé, la gauche anti-austérité d’Alexis Tsipras tente désormais de convaincre les indécis pour s’assurer une éventuelle majorité absolue de 151 sièges au parlement.
Syriza craint de faire des alliances qui lui imposerait de s‘écarter sensiblement de son programme tout en rassurant les instances communautaires :
“L’Europe ne devrait pas avoir peur de partis comme Syriza, si elle doit avoir peur de quelque chose, c’est d’elle-même. Je me réfère aux politiques stratégiques dominantes d’extrême austérité, qui ont été imposées principalement par la principale puissance : l’Allemagne”, explique le porte-parole de Syriza, Panos Skourletis.
Angela Merkel a réaffirmé vouloir une Grèce dans la zone euro tout en rappelant qu’une politique de rigueur s’impose à tout gouvernement grec.
La majorité conservatrice-socialiste tente de refaire son retard de plus de 4 points en mettant en garde contre une sortie de la zone euro et le spectre d’une insolvabilité alors qu’Athènes doit rembourser plus de 20 milliards d’euros de prêts en 2015. Le Premier ministre Antonis Samaras promet aussi des baisses d’impôts pour séduire les 10 à 15 % d‘électeurs indécis dans un pays où le vote est obligatoire.
Si la souveraineté économique est au cœur de cette brève campagne, elle se joue aussi sur le terrain du patrimoine. Preuve en est cette manifestation près du Parthénon pour réclamer de nouveau le retour en Grèce, des frises du plus célèbre temple d’Athènes au Bristish Museum de Londres.
A moins d’une semaine de ce scrutin anticipé, la gauche anti-austérité d’Alexis Tsipras tente désormais de convaincre les indécis pour s’assurer une éventuelle majorité absolue de 151 sièges au parlement.
Syriza craint de faire des alliances qui lui imposerait de s‘écarter sensiblement de son programme tout en rassurant les instances communautaires :
“L’Europe ne devrait pas avoir peur de partis comme Syriza, si elle doit avoir peur de quelque chose, c’est d’elle-même. Je me réfère aux politiques stratégiques dominantes d’extrême austérité, qui ont été imposées principalement par la principale puissance : l’Allemagne”, explique le porte-parole de Syriza, Panos Skourletis.
Angela Merkel a réaffirmé vouloir une Grèce dans la zone euro tout en rappelant qu’une politique de rigueur s’impose à tout gouvernement grec.
La majorité conservatrice-socialiste tente de refaire son retard de plus de 4 points en mettant en garde contre une sortie de la zone euro et le spectre d’une insolvabilité alors qu’Athènes doit rembourser plus de 20 milliards d’euros de prêts en 2015. Le Premier ministre Antonis Samaras promet aussi des baisses d’impôts pour séduire les 10 à 15 % d‘électeurs indécis dans un pays où le vote est obligatoire.
Si la souveraineté économique est au cœur de cette brève campagne, elle se joue aussi sur le terrain du patrimoine. Preuve en est cette manifestation près du Parthénon pour réclamer de nouveau le retour en Grèce, des frises du plus célèbre temple d’Athènes au Bristish Museum de Londres.
Par Fabien Farge | Avec AFP, EL PAIS, REUTERS
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