Source : 4è Revolution
Spécialisé dans l’impression de nanomatériaux, le groupe de recherche de Michael McAlpine à Princeton est parvenue à imprimer des LED nanoscopiques, des « points quantiques ». C’est donc l’une des technologies clé des lentilles bioniques qui semble être acquise par ces chercheurs même si, comme le souligne l’article du New Scientist le souligne, les « points quantiques » imprimés par l’équipe de Princeton contient des matériaux potentiellement dangereux pour la santé.
De nombreux obstacles reste encore à franchir avant de voire des lentilles écran commercialisées. S’il est acquis que l’alimentation sera réalisée par l’antenne radio, se pose encore le problème de l’échauffement des composants qui doit bien évidemment être très limité. En outre, la lentille doit être réalisée sur-mesure. C’est donc une application type de l’impression 3D.
Plusieurs équipes de recherches travaillent à mettre au
point les premières lentilles bioniques, capable
d’afficher une image directement devant l’œil du porteur.
L’équipe de Michael McAlpine de Princeton semble avoir
réalisé une avancée majeure vers la réalisation de ces
lentilles écrans. Les chercheurs ont mis au point une
imprimante 3D capable d’imprimer des LED nanoscopiques.
Une technologique qui ouvre la voie à la production de
telles lentilles bioniques. L’US Air Force qui finance
cette recherche pourrait bien équiper un jour ses pilotes
de telles lentilles.
Un écran LED composé de points quantiques nanoscopiques
Spécialisé dans l’impression de nanomatériaux, le groupe de recherche de Michael McAlpine à Princeton est parvenue à imprimer des LED nanoscopiques, des « points quantiques ». C’est donc l’une des technologies clé des lentilles bioniques qui semble être acquise par ces chercheurs même si, comme le souligne l’article du New Scientist le souligne, les « points quantiques » imprimés par l’équipe de Princeton contient des matériaux potentiellement dangereux pour la santé.
De nombreux obstacles reste encore à franchir avant de voire des lentilles écran commercialisées. S’il est acquis que l’alimentation sera réalisée par l’antenne radio, se pose encore le problème de l’échauffement des composants qui doit bien évidemment être très limité. En outre, la lentille doit être réalisée sur-mesure. C’est donc une application type de l’impression 3D.
L’Université
de l’état de Washington (à Seattle) travaille aussi sur la
mise au point de telles lentilles. Babak Parviz, le
chercheur qui avait dévoilé les premiers résultats en 2009
avait été immédiatement embauché par Google pour mettre au
point les Google Glass puis les Google Contact Lens qui
vont être prochainement commercialisées par Novartis.
Néanmoins ces premières lentille ne font que porter un
capteur pour transmettre le taux de glucose au smartphone
du porteur diabétique. Depuis, Babak Parviz a été recruté
par Amazon pour un projet à ce jour encore secret.
Sources
:
« Contact lenses with built-in video could be 3D
printed », New Scientist, 19 novembre 2014
« Princeton Builds Quantum Dot LED 3D Printer »,
RapidReady Tech., 6 novembre 2014
« Princeton Researchers Create First Ever
Completely 3D Printed Quantum Dot LEDs », 3DPrint, 5
novembre 2014
« 3D Printed Quantum Dot Light-Emitting Diodes »,
NanoLetters, 31 octobre 2014
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