Source : Rebellyon
Des policiers escortés de vigiles de l’université sont entrés dans Lyon 2 sur les quais où se déroulait une assemblée générale interfacs pour la suite du mouvement contre la loi travail. Plusieurs centaines d’étudiant·es ont alors assisté à l’arrestation d’un de leurs camarades, qui a été sorti par les vigiles pour être remis aux flics qui attendaient devant l’amphi Laprade.
Voir aussi Communiqué de l’assemblée générale de Lyon 2 suite à l’interpellation d’un de nos camarades
Des policiers escortés de vigiles de l’université sont entrés dans Lyon 2 sur les quais où se déroulait une assemblée générale interfacs pour la suite du mouvement contre la loi travail. Plusieurs centaines d’étudiant·es ont alors assisté à l’arrestation d’un de leurs camarades, qui a été sorti par les vigiles pour être remis aux flics qui attendaient devant l’amphi Laprade.
Voir aussi Communiqué de l’assemblée générale de Lyon 2 suite à l’interpellation d’un de nos camarades
Cinq ou
six camionnettes de flics avaient été envoyés pour l’interpellation de
ce dangereux élément. Il est en effet accusé par les vigiles d’un crime
sans précédent : un tag aurait été découvert hier dans les toilettes de
la fac.
En réalité, il aurait juste été vu avec une bombe de peinture, comme bien d’autres pour préparer les banderoles. Il est menacé de conseil de discipline. D’après les flics, il aurait été emmené au commissariat de Jean Macé (en attente de confirmation).
L’université Lyon 2 travaille depuis quelques années très régulièrement avec la police mais sa collaboration s’est accentuée dernièrement. Des personnes avaient ainsi été menacées de poursuites judiciaires en février lors d’un mouvement de soutien aux étudiant·es sans-papiers.
Infos à suivre...
En réalité, il aurait juste été vu avec une bombe de peinture, comme bien d’autres pour préparer les banderoles. Il est menacé de conseil de discipline. D’après les flics, il aurait été emmené au commissariat de Jean Macé (en attente de confirmation).
L’université Lyon 2 travaille depuis quelques années très régulièrement avec la police mais sa collaboration s’est accentuée dernièrement. Des personnes avaient ainsi été menacées de poursuites judiciaires en février lors d’un mouvement de soutien aux étudiant·es sans-papiers.
Infos à suivre...