Le Conseil national de la Résistance fut réactivé l'été 2008. Le CNR en Midi-Pyrénées est la déclinaison régionale de ce réseau organisé pour mener une résistance créatrice d'alternatives. Nous contribuons ainsi par notre action politique coopérative à construire Un Autre Monde... "Créer, c'est Résister. Résister, c'est créer."
dimanche 21 septembre 2014
jeudi 18 septembre 2014
Histoires qui tournent autour du Pôle Emploi
France Culture - 17.09.2014 - Les
Pieds sur terre
Stéphanie, Julien et Virginie sont demandeurs d’emploi. Avec Pôle emploi, tout se passait très bien mais un beau matin, ils sont entrés en Absurdie, pays de l’arbitraire et de l’injustice. Reportage : Rémi Douat Réalisation : Marie Plaçais
http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-histoires-qui-tournent-autour-du-pole-emploi-2014-09-17
Lien direct pour écouter :
http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4912706
DE L'ARGENT IL Y EN A POUR CONSTRUIRE DE NOUVEAUX DROITS
Contact presse
Claire Marx : 06 60 45 10 76
Laura Pailler : 06 31 12 29 05
Nous, chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires, avec ou sans papiers, occupons ce jeudi 18 septembre 2014, jour de reprise des concertations de la mission Valls, depuis 7h00, le chantier de l'hôtel Lutetia (45 bd Raspail, Paris Ve, métro Rennes et Sèvres-Babylone).
Cet hôtel de luxe à été vendu en 2010 au groupe Alrov, appartenant au milliardaire Israélien Alfred Akirov, pour 135 millions d'euros. La gestion est restée aux mains du groupe Concorde Hotels & Resorts, lui-même filiale de la société privée de gestion immobilière Starwood Capital Group, qui gère plus de 9 milliard de biens immobiliers dans le monde.
Nous sommes ici dans une volonté déterminée de recourir au blocage économique pour rappeler que nous n'entendons pas accepter la casse des droits sociaux des chômeurs, précaires, intermittents et intérimaires, aggravée par la mise en place de la convention d'assurance chômage du 22 mars.
Monsieur Rebsamen demande le renforcement du contrôle des chômeurs : nous lui répondons qu'il ferait mieux de contrôler les fraudes des employeurs sur le paiement des cotisations sociales qui coûtent plus de 20 milliard d'euros par an.
Arrêtez de dire que les précaires sont responsables du déficit de la protection sociale, c'est un mensonge !
Nous demandons l'abrogation de la nouvelle convention d'assurance chômage visant à faire des économies sur le dos des seuls chômeurs et précaires, en les stigmatisant.
Monsieur Valls offre un pacte de "responsabilité" aux entreprises pour favoriser la compétitivité et l'emploi, alors que ces dernières versent 30% de dividendes supplémentaires à leurs actionnaires au second trimestre 2014 et demandent par ailleurs à pouvoir embaucher en dessous du SMIC pour s'en sortir.
Ce n'est plus de la provocation, c'est de l'indécence !
Nous ne croyons pas en votre "crise" et ne voulons pas d'un plein-emploi précaire. Nous exigeons que notre modèle de protection sociale accompagne la discontinuité de l'emploi, les contrats courts, l'intérim, et qu'il soit discuté avec les premiers concernés.
Monsieur Gattaz déclare que "notre modèle social à vécu, il n'est plus adapté" : nous lui répondons que c'est notre modèle de dialogue social qui est mort et qui n'est plus adapté. Une gestion paritaire de l'UNEDIC qui date de 1958 : oui, le monde a changé et c'est ce paritarisme là qui n'est plus d'actualité.
Il est scandaleux que les cotisations sociales - part socialisée du revenu appartenant aux salariés - soient gérées de manière mafieuse et qu'il appartienne au patronat d'en décider.
Nous demandons la transparence des comptes de l'UNEDIC et exigeons que les chiffres bruts soient communiqués pour expertise.
Monsieur Hollande, alors que l'INSEE vient de publier son rapport présentant une instabilité et une precarisation croissante des conditions d'emploi, nous demandons que la question de l'assurance chômage devienne un débat national et que le modèle d'indemnisation soit repensé afin que 100% des chômeurs soient indemnisés.
Nous avons des propositions et tant qu'elles ne seront pas entendues, nos actions ne connaîtront pas de pause.
Nous appelons à une grève de l'ensemble des salariés, avec ou sans emploi, le 1er octobre 2014, jour de mise en application de l'ensemble de la convention d'assurance chômage.
Nous sommes tous concernés, soyons tous mobilisés.
Participez à la fondation de l'Observatoire international de la gratuité !
Paul Ariès
Animateur
de l’OIG
Nous sommes nombreux à penser dans le
champ de l'écologie sociale
que la défense et l'extension de la sphère de la gratuité est un combat essentiel.
que la défense et l'extension de la sphère de la gratuité est un combat essentiel.
De Jean-Louis Sagot Duvauroux à Pierre
Zarka en passant par Jean-Michel Drevon ou Gabriel Amard,
nombreux sont les acteurs de la transformation sociale à
prôner la gratuité en prenant appui sur des centaines
d’expérimentations qui prouvent que « la gratuité c’est
possible » et que « ça marche » : gratuité de l’eau vitale,
des transports en commun, de la restauration scolaire et
demain sociale, de la santé, de l’éducation, des services
culturels, du logement social, des services funéraires, etc…
Raoul Vaneigem qualifie même la gratuité « d'arme absolue »
contre le capitalisme et le productivisme, bref contre tout ce
qui nous fait crever. On comprend mieux dès lors que les
élites tentent de délégitimer la gratuité et de la rendre
invisible, comme si plus rien de gratuit n’existait dans nos
existences. La fondation en septembre 2014 de cet Observatoire
International de la Gratuité (OIG) a une histoire. Non
seulement nous sommes les héritiers des combats
multiséculaires pour défendre les biens communs et leur libre
accès contre l’appropriation privée et la marchandisation mais
nous sommes amoureux du service public et de toutes les
écologies qui donnent envie de changer de société. Pourquoi la gratuité ? Parce
que c’est la meilleure
réponse à la crise économique, sociale, politique,
écologique et anthropologique. Réponse économique car elle
rompt avec la logique du « toujours plus », avec celles de
la marchandisation et de privatisation des biens communs.
Réponse sociale car elle permet de satisfaire les besoins
sociaux sans avoir besoin d'attendre un retour illusoire à
la croissance économique....dévastatrice. Réponse écologique
car elle oblige à faire des choix démocratiques entre ce qui
doit être gratuit ou renchérit. Réponse politique parce
qu'elle mise sur le désir et le partage face aux marchands
de peur et de haine. Réponse anthropologique car elle tire
toutes les conséquences du fait que la gratuité est ce qu'il
y a de plus fondamentalement humain. La gratuité dont nous
parlons est bien sûr une gratuité construite. Economiquement
construite ce qui permet de re-légitimer l'impôt.
Politiquement construite. Socialement construite.
Culturellement construite. La gratuité ce n’est pas le
service débarrassé du coût mais du prix. Pourquoi le service public ? Le
service public c'est beaucoup plus que la somme des services
publics, c'est toute une conception de la société, du pacte
social.
Le service public c'est la construction de "communs" comme condition de l'humanisation. Pourquoi un Observatoire ? La gratuité n'a pas disparu contrairement aux « globalivernes ». La gratuité du service public et des biens communs résiste et se développe même. La force du système capitaliste n'est pas seulement de l'insulter mais de la rendre invisible. Rimbaud appelait déjà au 19e siècle à (re)devenir des voyants. Il y a urgence de nouveau au 21e siècle à rendre visible l'invisible. Mutualisons donc toutes les expériences de gratuité. Pourquoi un Observatoire International ? La gratuité du service public ce n'est pas une lubie de gosses de riches. Ceux qui parlent le mieux de gratuité ce sont les milieux populaires, les pays pauvres. L'Observatoire international de la gratuité entend travailler à la convergence des expériences de gratuité, par delà les différences de vocabulaires, de cultures, de cadre juridique. Nous ne voulons surtout pas rendre gratuit ce qui existe si ce qui existe est mauvais socialement et dangereux écologiquement. La gratuité c’est l’occasion à la fois de démocratiser le service public, de le rendre enfin aux usagers et de transformer le contenu des services et des produits. Nous ne rendrons pas gratuit la malbouffe, le gaspillage de l’eau, les pétro-médicaments… Comment participer à la fondation de l’OIG ? Rendez-vous sur notre site participatif. http://vivelagratuite.canalblog.com. Partagez vos expériences de gratuité. Quels sont les services publics gratuits dans votre territoire ? Devenez correspondant de l’OIG !
mercredi 17 septembre 2014
Tarn Info Citoyen communique :
lundi 15 septembre
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- | Cagnotte solidaire TARN | Castres | |
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18:30 | Préparer la Fête de la Transition | Albi | |
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20:15 | contes Marche itinérante Le Temps de Dire 2014 | Brousse |
mardi 16 septembre
|
20:00 | contes Marche itinérante Le Temps de Dire 2014 | Giroussens |
mercredi 17 septembre
|
- | Programme du Rond Point Labruguière | Labruguière | |
|
21:00 | contes Marche itinérante Le Temps de Dire 2014 | Graulhet |
jeudi 18 septembre
|
- | ouverture rayon puériculture emmaus | Albi | |
|
20:30 | contes Marche itinérante Le Temps de Dire 2014 | Lisle-sur-Tarn |
vendredi 19 septembre
samedi 20 septembre
dimanche 21 septembre
|
- | Le secours populaire du Tarn fête 40 ans de solidarité | Saint Benoit de Carmaux | |
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17:00 | Chantons sous les toits Clément Bertrand | Castres | |
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18:00 | contes Marche itinérante Le Temps de Dire 2014 | Gaillac |
lundi 22 septembre
|
18:30 | Préparer la Fête de la Transition | Albi |
mardi 23 septembre
|
20:00 | Café Citoyen "le rire à l'assaut du monde" | Albi |
Les Possibles Revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac
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La Coordination Eau Bien Commun France est née
Lyon | le 15/09/2014 | Communiqué de presse
Des citoyens et associations de toute la France se sont réunis ce week-end à Lyon, sur la Péniche du Val de Rhône à l'initiative de la Coordination Eau Ile-de-France, de la Coordination Eau Bien Commun Rhône-Alpes et de la Coordination Eau Bien Commun PACA. Pour porter d'une seule voix, l'eau bien commun dans les différents débats et combats, il a été décidé de créer la Coordination Eau Bien Commun France.
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