mercredi 4 février 2015

L'anticonformisme et le franc-parler considérés comme des maladies mentales

 
 
Est-ce que l'anticonformisme et le franc-parler sont une maladie mentale ? Selon la dernière édition du DSM-IV(Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) oui.

Ce manuel identifie une nouvelle maladie mentale appelée « trouble oppositionnel avec provocation » ou TOP. Cette maladie est définie comme un « schéma continu de désobéissance, d’hostilité et de provocation » et les symptômes incluent la remise en question de l’autorité, la négativité, la défiance, la contradiction, et le fait d’être facilement agacé.

Le DSM-IV est le manuel utilisé par les psychiatres pour diagnostiquer les maladies mentales, et à chaque nouvelle édition, il y a des dizaines de ces nouvelles maladies. Sommes-nous en train de devenir de plus en plus malades ? Est-ce qu’il devient plus difficile d’être en bonne santé mentale ? Les auteurs du DSM-IV déclarent que c’est parce qu’ils sont plus à même d’identifier ces maladies aujourd’hui.

Les nouvelles maladies mentales identifiées par le DSM-IV incluent l’arrogance, le narcissisme, la créativité supérieure à la moyenne, le cynisme, et le comportement antisocial. Ce que nous appelions des traits de personnalité autrefois sont désormais des maladies mentales. Et il existe des traitements.

Au cours des 50 dernières années, le DSM-IV est passé de 130 à 357 de ces maladies. La majorité de ces maladies frappent les enfants. Bien que ce manuel soit un outil de diagnostic important pour l’industrie psychiatrique, il a également été responsable des changements sociaux. L’augmentation des TOP, des troubles bipolaires et des dépressions chez les enfants a été en grande partie à cause du manuel qui identifie certains comportements comme des symptômes. Un article du Washington Post a fait remarquer que, si Mozart était né aujourd’hui, il serait diagnostiqué avec un TOP et il serait médicamenté jusqu’à ce qu’il redevienne normal.

Selon le DSM-IV, les adultes peuvent souffrir des mêmes maladies que les enfants. Cela devrait donner une raison de s’inquiéter aux libres penseurs. L’Union Soviétique utilisait de nouvelles maladies mentales pour les répressions politiques. Les gens qui n’acceptaient pas les convictions du Parti communiste développaient une nouvelle forme de schizophrénie. Ils souffraient du délire de croire que le communisme n’était pas une bonne chose. Ils ont été isolés, médicamentés de force et ont subi une thérapie répressive pour les ramener à la raison.

Lorsque la dernière édition du DSM-IV a été publiée, l’identification de symptômes de diverses maladies mentales chez les enfants a entraîné une augmentation significative de la médication des enfants. Certains États ont même des lois qui permettent aux agences de protection de soigner de force, et ont même rendu le refus de prendre des médicaments passible d’amende ou d’emprisonnement. Cela donne un image effrayante à tous ceux qui sont non-conformistes.  Bien que les auteurs de ce manuel affirment ne pas avoir d’arrière-pensées, qualifier la libre-pensée et la non-conformité de maladie mentale est une bombe à retardement d’abus en tout genre. Cela peut facilement devenir une arme dans l’arsenal d’un État répressif.

Source : Metatv.org
 
Ben voyons, pourquoi se gêner finalement puisque la contestation va croissante dans tous les domaines et que l’establishment idéologue n’aime pas beaucoup la contradiction (c’est le moins que l’on puisse dire) ? Et l’éthique dans tout ça ? Une fois encore, les médecins auront un rôle d’exécutants, de robots qui appliquent des grilles d’interprétation arrêtées en amont par un vrai faux consensus des pairs…

Si on prend le cas concret du Dr Moulden qui était arrivé, sur base de travaux scientifiques rigoureux, à la conclusion que les vaccins sont la cause des dommages les plus graves que l'humanité se soit jamais infligés à elle-même au cours de toute son histoire, on remarquera, outre les circonstances pour le moins suspectes de son décès qu'il avait été sommé par les officiels de signer une déclaration selon laquelle il était fou pour avoir le droit de retourner à sa pratique professionnelle au contact de patients (qui n'avaient ainsi pas le droit d'être mis au courant). N'ayant aucun argument de fond et aucune science pour sous-tendre la vaccination, les officiels n'ont plus que l'intimidation et les attaques ou injures personnelles (regardez encore avec le Dr Sherry Tempenny, c'est tout à fait ce qui se passe puisque les officiels australiens lui refusent le visa alors qu'elle devait venir faire des conférences dans ce pays sur les risques vaccinaux exorbitants)...les officiels n'ont plus que la censure, la peur, la calomnie et le simplisme mais ils n'ont toutefois jamais avec eux la science ou l'audace du débat...c'est là une véritable bombe à retardement qui ne pourra plus tenir indéfiniment!

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