Source : la Dépêche 26/03
Hier matin, Alain Hébrard, 78 ans, habitant Prat Lautié dans la commune de Fontrieu, avait rendez-vous à la gendarmerie de Lacaune pour y être entendu. C'est la troisième fois que ce défenseur de l'environnement y est appelé, la dernière remontant à novembre 2017. Interrogé sur la place de Lacaune avant son audition alors qu'il était entouré de quelques soutiens, il a confié que sa convocation était liée à une éventuelle participation à une action des Faucheurs Volontaires à laquelle il appartient.
Le 15 août 2018, ils auraient mené leur action sur un champ de la RAGT à Druelle (12), sur une superficie d'environ 2 500 m2 d'essai de tournesol rendu résistant à un herbicide, dont la Cour de justice européenne avait, par son arrêt du 25 juillet 2018, confirmé qu'il s'agit bien d'OGM actuellement hors la loi.
«À un moment où la lutte contre les pesticides et contre les OGM qui facilitent leur utilisation massive, il est important de montrer la détermination des consommateurs à en bannir l'usage. Plusieurs dizaines de personnes auraient été présentes pour alerter le gouvernement qui reste inactif concernant les OGM mutés (colza et tournesols) actuellement cultivés en France», indiquent les Faucheurs Volontaires.
À l'issue de son audition d'une grosse demi-heure par le major Emmanuel Rodier, commandant la COB (Communauté de brigades) de Lacaune, Alain Hébrard est ressorti libre et souriant signalant que l'entretien avait été intelligent et positif. Alain Hebrard a déclaré aux gendarmes qu'il n'avait rien à déclarer.
Rappelons que le septuagénaire tarnais milite contre les OGM depuis 1998 et qu'il appartient aux Faucheurs Volontaires depuis leur création en 2003.
Hier matin, Alain Hébrard, 78 ans, habitant Prat Lautié dans la commune de Fontrieu, avait rendez-vous à la gendarmerie de Lacaune pour y être entendu. C'est la troisième fois que ce défenseur de l'environnement y est appelé, la dernière remontant à novembre 2017. Interrogé sur la place de Lacaune avant son audition alors qu'il était entouré de quelques soutiens, il a confié que sa convocation était liée à une éventuelle participation à une action des Faucheurs Volontaires à laquelle il appartient.
Le 15 août 2018, ils auraient mené leur action sur un champ de la RAGT à Druelle (12), sur une superficie d'environ 2 500 m2 d'essai de tournesol rendu résistant à un herbicide, dont la Cour de justice européenne avait, par son arrêt du 25 juillet 2018, confirmé qu'il s'agit bien d'OGM actuellement hors la loi.
«À un moment où la lutte contre les pesticides et contre les OGM qui facilitent leur utilisation massive, il est important de montrer la détermination des consommateurs à en bannir l'usage. Plusieurs dizaines de personnes auraient été présentes pour alerter le gouvernement qui reste inactif concernant les OGM mutés (colza et tournesols) actuellement cultivés en France», indiquent les Faucheurs Volontaires.
À l'issue de son audition d'une grosse demi-heure par le major Emmanuel Rodier, commandant la COB (Communauté de brigades) de Lacaune, Alain Hébrard est ressorti libre et souriant signalant que l'entretien avait été intelligent et positif. Alain Hebrard a déclaré aux gendarmes qu'il n'avait rien à déclarer.
Rappelons que le septuagénaire tarnais milite contre les OGM depuis 1998 et qu'il appartient aux Faucheurs Volontaires depuis leur création en 2003.
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