Source : Basta mag
Vente
à la ferme, marchés bio, magasins de producteurs, AMAP, systèmes de
paniers, vente en ligne, restauration collective, circuits courts à
vocation solidaire… De multiples initiatives ont été lancées pour
dynamiser les circuits courts en agriculture biologique. Avec un
objectif : faciliter l’accès des produits bio, tant du point de vue des
prix que des réseaux de proximité. Du 19 au 27 septembre, les
groupements de producteurs de la Fédération nationale de l’agriculture
biologique invitent à venir découvrir les acteurs de la bio, à côté de
chez vous. Et lancent une grande mobilisation pour fédérer les énergies
citoyennes et interpeller les élus à la veille de la Conférence sur le
climat.
Au
programme : une semaine d’animations savoureuses, ludiques et variées
dans toute la France (dégustations, fermes ouvertes, marchés,
ciné-débats…). L’occasion de valoriser les atouts des produits bio, de
découvrir les méthodes de travail des agriculteurs et de réfuter l’idée
selon laquelle “manger bio, ça coûte forcément plus cher”.
La commercialisation de denrées alimentaires bio produites localement réduit en effet le nombre d’intermédiaires, diminue non seulement les prix, mais limite les émissions de gaz à effet de serre du fait d’un mode production biologique. Cela contribue aussi activement à renforcer la vitalité économique de nos territoires en favorisant un mode de production qui crée davantage d’emplois que l’agriculture conventionnelle.
Manger bio, c’est faire le choix d’une alimentation de qualité qui garantit des produits sans pesticides, sans engrais chimiques de synthèse ni OGM, et c’est aujourd’hui de plus en plus facile grâce au développement des circuits courts. Manger bio, c’est choisir des produits savoureux et c’est bon pour la préservation de l’environnement, l’amélioration du cadre de vie, comme pour l’économie locale.
Cette année, notre campagne “ Manger bio et local c’est l’idéal ” sera l’occasion d’interpeller nos élus à la veille de 3 échéances essentielles : la conférence internationale sur le climat (COP21), qui débutera le 30 novembre, à Paris ; les élections régionales, qui auront lieu les 6 et 13 décembre, et l’entrée en vigueur de la réforme territoriale, le 1er janvier 2016.
Dans un contexte de crise à répétition et de plus en plus aigües des prix agricoles, l’agriculture biologique et ses circuits de distribution démontrent concrètement qu’il existe des alternatives à la fois économiquement viables et respectueuses de l’environnement.
La bio ne représente cependant aujourd’hui en France que 4% des surfaces cultivées. Nos élus ont des leviers pour changer la donne. Dans le cadre de la réforme territoriale, les futures régions auront désormais les compétences qui permettront de penser et de mettre en œuvre des systèmes de production et de distribution alimentaire soutenables : c’est une chance qu’il ne faut pas laisser passer.
Nous, producteurs et productrices bio, sollicitons toute l’attention de nos élus et futurs élus. Partout où ceux-ci ont accompagné le mouvement, les pratiques des filières biologiques ont gagné en force, en étendue et en légitimité. C’est pourquoi, du 19 au 27 septembre, nous invitons à venir rencontrer les producteurs bio près de chez vous, à leur apporter votre soutien et à interpeller vos élus.
Photo : CC Luc Legay
La commercialisation de denrées alimentaires bio produites localement réduit en effet le nombre d’intermédiaires, diminue non seulement les prix, mais limite les émissions de gaz à effet de serre du fait d’un mode production biologique. Cela contribue aussi activement à renforcer la vitalité économique de nos territoires en favorisant un mode de production qui crée davantage d’emplois que l’agriculture conventionnelle.
Manger bio, c’est faire le choix d’une alimentation de qualité qui garantit des produits sans pesticides, sans engrais chimiques de synthèse ni OGM, et c’est aujourd’hui de plus en plus facile grâce au développement des circuits courts. Manger bio, c’est choisir des produits savoureux et c’est bon pour la préservation de l’environnement, l’amélioration du cadre de vie, comme pour l’économie locale.
Cette année, notre campagne “ Manger bio et local c’est l’idéal ” sera l’occasion d’interpeller nos élus à la veille de 3 échéances essentielles : la conférence internationale sur le climat (COP21), qui débutera le 30 novembre, à Paris ; les élections régionales, qui auront lieu les 6 et 13 décembre, et l’entrée en vigueur de la réforme territoriale, le 1er janvier 2016.
Dans un contexte de crise à répétition et de plus en plus aigües des prix agricoles, l’agriculture biologique et ses circuits de distribution démontrent concrètement qu’il existe des alternatives à la fois économiquement viables et respectueuses de l’environnement.
La bio ne représente cependant aujourd’hui en France que 4% des surfaces cultivées. Nos élus ont des leviers pour changer la donne. Dans le cadre de la réforme territoriale, les futures régions auront désormais les compétences qui permettront de penser et de mettre en œuvre des systèmes de production et de distribution alimentaire soutenables : c’est une chance qu’il ne faut pas laisser passer.
Nous, producteurs et productrices bio, sollicitons toute l’attention de nos élus et futurs élus. Partout où ceux-ci ont accompagné le mouvement, les pratiques des filières biologiques ont gagné en force, en étendue et en légitimité. C’est pourquoi, du 19 au 27 septembre, nous invitons à venir rencontrer les producteurs bio près de chez vous, à leur apporter votre soutien et à interpeller vos élus.
Photo : CC Luc Legay
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